TitreGabrielle Roy’s Buchtitel
Type de publicationArticle de revue
Année de publication2000
Auteur·e·svon Stackelberg, J
RevueFestschrift für Arnold Rothe
Volume65
Pages339-346
Texte complet

Après avoir raconté comment il en est arrivé à lire Gabrielle Roy, Jürgen von Stackelberg s’interroge sur le fait que certains titres de la romancière manitobaine n’aient pas été traduits en Allemand alors qu’ils le sont dans d’autres langues. Stackelberg commence son étude par une analyse du titre de Bonheur d’occasion, traduit en anglais par The Tin Flute, de manière imparfaite selon lui. Il fait ainsi référence aux interprétations possibles de chaque terme, avant de poursuivre son étude avec Alexandre Chenevert et les difficultés soulevées par la question de traduire ce titre par son équivalent allemand : Alexander Eichengrün. Par la suite, Stackelberg s’intéresse successivement aux traductions possibles des œuvres suivantes La Montagne secrète, Das kleine Wasserhuhn, Rue Deschambault, La Route d’Altamont, Un jardin au bout du monde, Ces enfants de ma vie, La Détresse et l’Enchantement, Fragiles lumières de la terre, et La Rivière sans repos. Pour conclure, Stackelberg évoque entre autres les rapports de Roy à la langue française, qui rappellent inévitablement ses racines manitobaines. [par Annick Lavogiez]