La Route d’Altamont comme réécriture de Rue Deschambault
Titre | La Route d’Altamont comme réécriture de Rue Deschambault |
Type de publication | Chapitre de livre |
Année de publication | 2003 |
Titre du livre | Gabrielle Roy réécrite |
Ville | Québec |
Éditeur | Nota bene |
Pages | 35-54 |
Texte complet | L’entreprise royenne peut être considérée à la fois comme « désécriture » puisque chaque oeuvre semble s’opposer ou renier la précédente, mais aussi comme « réécriture » car Gabrielle Roy reprend régulièrement des formes et des thèmes communs pour les développer et les approfondir. Partant de cette constatation, Dominique Fortier, dans le chapitre « La Route d’Altamont comme réécriture de Rue Deschambault », tente de comprendre dans quelle mesure l’action de Rue Deschambault est en quelque sorte simultanée ou parallèle à celle de La Route d’Altamont, chacune étant pourtant envisagée sous un jour différent. Fortier, s’attardant principalement aux points de vue narratifs dans chaque texte, met en lumière quelques-unes des principales différences par lesquelles se manifeste ce qu’elle considère comme la réécriture du discours d’inspiration autobiographique. Ainsi, elle s’attarde principalement au point de vue de Christine, qui évolue fondamentalement entre sa petite enfance et l’âge adulte, et donc entre Rue Deschambault et La Route d’Altamont. [par Annick Lavogiez] |