TitreLa Route d’Altamont et Who Has Seen the Wind: deux enfants des prairies face au mystère de la vie et de la mort
Type de publicationConference Proceedings
Year of Conference1985
Auteur·e·sCollet, P
Conference NameHéritage et Avenir des francophones de l’Ouest. 5e colloque du Centre d’études franco-canadiennes de l’Ouest
Pagination65-75
Conference Start Date18/10/1985
ÉditeurSaskatoon, University of Saskatchewan, 1986
Conference LocationSt. Thomas More College
ÉditeurGenuist, M, Genuist, P, Harris, F, Quenneville, J-G
Texte complet

Malgré leurs différences formelles (roman à narrateur omniscient chez Mitchell, recueil de nouvelles écrites à la première personne chez Roy), les deux œuvres à l’étude mettent en scène la dichotomie mort-vie et une tentative de comprendre le mystère de Dieu. Dans les deux cas, la mort est présentée comme un voyage ou un recommencement. Chez Gabrielle Roy, les collines symbolisent en outre l’Absolu et l’œuvre d’art, tandis que le vent est une force hostile, liée à l’ennui et à la sécheresse. [source: Saint-Martin, L. (1998). Lectures contemporaines de Gabrielle Roy: bibliographie analytique de la critique (1978-1997), Montréal, Boréal.]