Une présence dans l’étendue : la définition du personnage dans Un jardin au bout du monde
Titre | Une présence dans l’étendue : la définition du personnage dans Un jardin au bout du monde |
Type de publication | Conference Proceedings |
Year of Conference | 2009 |
Auteur·e·s | Belisle, M |
Conference Name | Gabrielle Roy et l'Art du roman |
Pagination | 186-198 |
Conference Start Date | 22/10/2009 |
Éditeur | Boréal, "Cahiers Gabrielle Roy, 2010 |
Conference Location | Université McGill |
Éditeur | Daunais, I, Marcotte, S, Ricard, F |
Texte complet | Mathieu Bélisle constate que les protagonistes du XXème siècle sont de plus en plus souvent amenés à remettre en question la pertinence de leur vie, allant jusqu’à se demander en quoi ils peuvent être dignes d’intérêt. L’exemple le plus frappant est Alexandre Chenevert, héros du roman éponyme, auquel s’intéresse tout d’abord Bélisle. Puis, après avoir notamment évoqué le même type de questionnement chez Pierre Cadorai dans La Montagne secrète, Bélisle choisit de s’attarder à Sam Lee Wong et Martha Yaramko, deux protagonistes du recueil Un Jardin au bout du monde. Il s’intéresse ainsi au rapport de ces personnages au péril de la déréalisation, à la mémoire et à l’identité. [par Annick Lavogiez] |