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In Memoriam: Gabrielle Roy (1909-1983)

Socken, Paul. 1983. « In Memoriam: Gabrielle Roy (1909-1983) ». Revue canadienne des langues vivantes/Canadian Modern Language Review, vol. 40, no 1, p. 105-110.

Gabrielle Roy a été, tout au long de sa vie, une figure complexe et paradoxale : «géante» de la littérature, elle était petite de stature, particulièrement à la fin de sa vie ; sensible aux problèmes de la vie urbaine, elle est restée très attachée à la vie à la campagne ; fédéraliste, elle a toujours considéré le Canada comme «sa maison», tout en gardant une préférence marquée pour le Québec.

Gabrielle Roy. 1909-1983

Marshall, Joyce. 1983. « Gabrielle Roy. 1909-1983 ». Antigonish Review, no 55, p. 35-46.

Joyce Marshall a été la traductrice et l’amie de Gabrielle Roy pendant plusieurs années. Ainsi, elle évoque dans son article, à travers des anecdotes personnelles et professionnelles, l’attitude de Roy face à la vie et à son écriture, s’attardant notamment sur sa façon de transformer ses propres souvenirs et expériences en fictions. Marshall mentionne ainsi des détails biographiques sur la romancière manitobaine, retrace la réception de ses différents romans; elle propose également quelques pistes de réflexions sur ses romans.

La solitude vertigineuse de Sam Lee Wong

Belisle, Matthieu. 2010. « La solitude vertigineuse de Sam Lee Wong ». L'Atelier du roman, no 62, p. 96-102.

Certains personnages du XXe siècle accusent ce que Matthieu Belisle considère comme un « déficit ontologique », c’est-à-dire qu’ils ont de la difficulté à « être quelqu’un à qui quelque chose arrive ». Alexandre Chenevert, dans le roman éponyme, fait partie de ces personnages puisque c'est un homme maigre, inquiet, qui absorbe la parole des autres comme celle des médias sans y opposer de résistance : il fait pâle figure même en comparaison aux autres personnages du roman. Alexandre soulève ainsi la question « En quoi suis-je digne d’intérêt ? »

L’atelier de Gabrielle Roy

Ricard, François. 2010. « L’atelier de Gabrielle Roy ». L'Atelier du roman, no 62, p. 19-33.

Gabrielle Roy est souvent étudiée dans « un petit contexte », c’est-à-dire dans une perspective féminine, féministe, régionale, « post-coloniale », etc. Dans cet article, François Ricard rappelle « l’universalité », ou du moins le désir d’universalité, de Roy et s’attache à montrer que l’œuvre royenne doit être située dans le « contexte universel de l’art du roman ».

Évangile selon Gabrielle Roy

Thério, Adrien. 1986. « Évangile selon Gabrielle Roy ». In Solitude rompue. Textes réunis en hommage à David M. Hayne, sous la dir. de Cloutier-Wojciechowska, Cécile et Réjean Robidoux, p. 394-395. Coll. « Solitude rompue. Textes réunis en hommage à David M. Hayne ». Ottawa : Presses de l’Université d’Ottawa.

Gabrielle Roy

Meadwell, Kenneth W. 1993. « Gabrielle Roy ». In Magill’s Survey of World Literature, sous la dir. de Magill, Frank N, p. 1656-1664. Coll. « Magill’s Survey of World Literature ». New York : Marshall Cavendish Corp.

Bonheur d’occasion di Gabrielle Roy

Fratta, Carla. 1981. « Bonheur d’occasion di Gabrielle Roy ». In Canada: L’immaginazione letteraria, sous la dir. de Rizzardi, Alfredo, p. 193-201. Coll. « Canada: L’immaginazione letteraria ». Abano Terme : Piovan Editore.

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